Nous remercions Monsieur et Madame Parvillé de Guéret (département de la Creuse) de nous avoir fait parvenir un compte rendu écrit très détaillé, relatif à leurs conditions d’hébergement et à la manière dont ils ont été accueillis, lors des 15 étapes de leur séjour en Slovaquie. Ils ont effectué un périple qu’ils leur a permis de découvrir de très nombreuses curiosités touristiques selon l’itinéraire suivant : Bratislava, Modra, Trnava, , Trenčín, Žilina, Čičmany, Bojnice, Vlkolinec, Martin, Liptovsky Mikuláš, Poprad, Spišský Hrad, Levoča, Kežmarok, Bardejov,, Košice, Rožňava, Zvolen, Banská Bystrica, Banská Štiavnica et Nitra. Dans leur énumération, il nous a fallu « élaguer » la liste des lieux visités comme elle était beaucoup plus fournie que celle que nous mentionnons. Monsieur et Madame Parvillé, satisfaits de leur séjour en Slovaquie ont pu découvrir , sous un soleil magnifique, la diversité des paysages , les curiosités naturelles (grottes) et les divers styles architecturaux (châteaux, églises en bois). Dans l’ensemble ils ont été enchantés de l’accueil qu’ils ont reçu et ont apprécié la cuisine slovaque de terroir. Toutefois ils ont considéré que le prix des parkings et des droits de photographier, à l’intérieur des châteaux, étaient « exorbitants ».
Du sang slave coule dans mes veines, de par mon père qui est arrivé en France, à l’âge de dix ans, avec ses parents. Mon grand-père Peter Svelka est mort, accidentellement, en France et ma grand-mère a élevé, seule, ses six enfants. Des récits de cette dernière, je sais que mon grand-père était fils unique et qu‘elle avait deux sœurs. Elle n’est jamais retournée en Tchécoslovaquie et aucun autre membre de sa famille a émigré , par la suite. • Il y a vingt et un ans, alors qu’il y avait encore le « Rideau de Fer », je suis allée sur la terre de mes ancêtres, avec mon mari, espérant trouver la trace de liens familiaux. • A cette époque, bien des Slovaques parlaient français. Nous y avons rencontré des amis d’enfance de mon père, la famille du mari d’une de mes tantes, que l’on considère maintenant comme faisant partie de la nôtre, mais rien n’a abouti en ce qui concerne mes propres recherches. • Jozef Bajik, une nouvelle connaissance, m’a énormément aidée, dans mes investigations sur la branche généalogique de ma grand-mère : Apollonia Hrda. A plusieurs reprises, j’ai envoyé des cartes postales, des courriers avec quelques détails généalogiques, des mails par Internet, et cela, à différentes personnes, mais, évidemment, la barrière de la langue a fait que je n’ai obtenu aucune réponse. • Il y a deux ans, nous sommes retournés en Slovaquie, avec ma sœur et son mari qui souhaitaient aussi connaître le pays de notre père. • Mieux armée cette fois, j’ai pu glaner certains documents concernant mes ancêtres paternels, ainsi que d’autres renseignements, par courrier, en m‘adressant à des services d‘Archives. • La barrière de la langue étant toujours là, je ne pouvais comprendre aucune lettre. Mon mari a trouvé, sur Internet, l’adresse de l’Association Amitié Franco-Slovaque, dont nous ignorions l’existence, tout près de chez nous, puisque je suis native de Villeneuve Les Sablons. Après contact, Monsieur et Madame Manak ont traduit mon courrier et ont eu la gentillesse de s’intéresser à mes recherches. Débordant d’enthousiasme, ils se sont mis de suite à la tache et ont effectué un travail remarquable, en peu de temps. Je les en remercie chaleureusement car mes espoirs sont sur le point d’aboutir. J’espère pouvoir vous donner d’autres détails, une prochaine fois. Annick SVELKA Duchâteau
Du sang slave coule dans mes veines
« CARTE POSTALE » DE SLOVAQUIE. »